recherche

LRMH – Laboratoire de Recherche des Monuments Historiques

Le LRMH a été créé en 1970 par Jean Taralon, inspecteur général des monuments historiques, qui considérait que le patrimoine bâti comme le patrimoine mobilier avait besoin d’un laboratoire spécialement dédié à l’étude scientifique de ses matériaux constitutifs, de leurs phénomènes d’altération et des techniques utilisées pour le conserver, le restaurer et le mettre en valeur. C’est une institution liée au Ministère de la Culture et de la Communication qui possède huit pôles de compétence axés sur les matériaux et les techniques : bois, peinture, pierre, grottes ornées, métal, béton, textile et vitrail.

Le site internet de l’institution expose les huit pôles de compétence sur la page d’accueil.

© Capture d'écran du site LRMH

© Capture d’écran du site LRMH

Menu de présentation du site LRMH

Dans le cas de la peinture, nous avons des explication précises sur le travail réalisé par le LRMH. Le diagnostique, le choix des materiaux utilisés pour la restauration d’œuvres peintes et aussi la restauration préventive font partie des activités du laboratoire.

Leur site internet est bien élaborée, avec des liens mis en évidence sur la page d’accueil.

Centre de Recherche et de Restauration des Musées de France

Le C2RMF est directement lié à la politique adoptée par les musées français concernant la conservation des collections publiques. Il constitue et conserve une documentation sur les matériaux, les techniques et la restauration des œuvres des musées. Le département de Conservation et Restauration de l’institution assiste les musées dans la programmation de la conservation et de la restauration de leurs collections.

© Capture d'écran du site C2RMF

© Capture d’écran du site C2RMF

Opérations phares du C2RMF

Leur site est très utile aux restaurateurs puisque l’institution est engendrée dans la vie de la restauration en France, en développant la recherche dans le milieu de la conservation.

Il est vrai que le site présente des informations très résumées, en limitant le travail de recherche. Pourtant, le visitant de la plateforme numérique peut bien avoir des informations nécessaires pour comprendre le travail développé par le C2RMF.

Le CRCC, un centre de recherche pour la conservation

CRCC

Le CRCC est le Centre de Recherche sur la Conservation des Collections français qui est en partenariat avec des laboratoires de recherche (C2RMF, le LRMH), des centres et formations français (universités, CICRP…) et d’autres partenaires européens et internationaux. Ce centre a été créé avec l’aide du CNRS et du Muséum National d’Histoire Naturelle. D’abord centré sur la recherche sur la conservation des documents graphiques, le CRCDG devient le CRCC. Créé en 2007 et ayant pour administrateur Alban Fournier, le site du CRCC a pour but d’améliorer les méthodes de conservation préventive et de développer les connaissance des matériaux à l’étude de leur processus de dégradation ainsi que la mise au point de traitements pour les documents en péril.

CRCC

Le site est accessible en français et en anglais dans le menu vertical à gauche. Le menu nous renseigne sur les thèmes de recherche du CRCC qui sont les connaissance des matériaux et des dégradations, les traitements de conservation et la conservation préventive. Les descriptions sont simples et concises, organisées par facteurs d’altération et interventions nécessaires.

   CRCC       CRCC

Une autre page est réservée aux résumé d’expertises scientifiques et de différents matériaux. La rubrique suivante Productions scientifiques comporte les même sous-rubriques mais met à disposition la bibliographie des publications et la liste totale est téléchargeable.

Téléchargez ici la liste de publications du CRCC depuis 1953.

Ainsi nous pouvons nous renseigner sur l’actualité des recherches en conservation et préservation de ce centre qui sont de plus accompagnés des projets coopératifs répertoriés.

CRCC

Enfin une rubrique Fiches techniques permet d’avoir un aperçu plus en détail de quelques sujets. Mais le plus intéressant pour nous sont les références de ces articles, qui permettent d’approfondir notre curiosité sur un sujet. La page Centre de documentation recense les fonds documentaires du CRCC et offre une bibliographie sélective à télécharger.

Téléchargez ici la bibliographie sélective.

Ce site permet de se renseigner sur les recherches en cours mais au final s’avère plus un instrument de médiation vers d’autres recherches bibliographique, par ses descriptions sommaires, qu’un outils d’information en lui même.

Confédération Européenne des Organisations de Conservateurs-Restaurateurs

ECCO

ECCO-eu.org est un le site internet de la Confédération Européenne des Organisations de Conservateurs-Restaurateurs. Membre de l’ICCROM (Centre international d’études pour la conservation et la restauration du patrimoine culturel) et du CEPLIS (Conseil Européen des Professions Libérales), cette confédération a été créée en 1991 et son siège se trouve en Belgique. Son site lui n’a été mis en ligne qu’en 2011.

ECCO

L’ECCO a pour but de développer et promouvoir, d’un point de vue pratique, scientifique et culturel, la profession de Conservateur-Restaurateur du Patrimoine Culturel. Elle est composé d’un comité qui a pour président, à l’heure actuelle, l’irlandaise Susan Corr. 

Les membres de l’ECCO sont composés de membres de plein droit venant d’organisations ou de fédérations européennes de conservateur et de restaurateurs. Aussi il existe des membres associatifs, venant d’organisations ou d’institutions voulant contribuer au progrès de la conservation-restauration, mais ceux-ci ne peuvent voter aux Assemblées Générales.

Leurs objectifs sont de développer les possibilités d’échanges européens à la fois sur l’activité et l’enseignement de cette matière, mais aussi de favoriser la reconnaissance nationale de ses activités.

ECCO        ECCO

Ainsi ce site permet par son menu vertical à gauche de s’informer sur le fonctionnement de cet organisme et de toutes ses actions à l’échelle européenne par un contenu en anglais. Dans la page Members on nous informe que l’ECCO possède 5000 membres et nous pouvons retrouver toutes les organisations adhérentes classées par pays. Une fiche de contact détaillée est alors fournie avec le nom du délégué  du comité de l’ECCO. La France par exemple fait partie des membres de plein droit par la FFCR (Fédération Française des Conservateurs-Restaurateurs) et a pour délégué David Aguilella-Cueco.

ECCO          ECCO

La rubrique News ou Documents permet de consulter ou de télécharger les actualités relatives aux actions de l’ECCO (recherche et nouveaux fonds, conférences, adoption de nouvelles directives…) et les rapport d’assemblées générales qui ont lieux annuellement. La page Projects informe sur les nouvelles collaborations et les ébauches d’études en cours.

ECCO

Enfin la page Links renvoie à quelques sites officiels de centres d’étude et un module calendrier permet de consulter les événements en rapport avec l’ECCO.

Le site de l’ECCO est donc un moyen sûr de se tenir à jour du statut de la profession de conservateur et restaurateur des biens culturels et de ses enseignements. Mais surtout il permet de découvrir les organismes nationaux européens qui peuvent eux-même nous mener à des recherches plus élargies.

La recherche catalane partagée au monde entier

La revue Unicum est une publication annuelle, faite par l’Escola Superior de Conservaciói Restauració de Béns Culturals de Catalunya. Son but est de propager les activités et les expériences a partir d’une publication périodique qui soit à la fois un espace ouvert à la collaboration et à la diffusion de nouvelles découvertes dans le champs de la recherche.

Le site de la revue catalane Unicum a été crée pour devenir un outil des professionnels de la restauration-conservation du monde entier et pas seulement des restaurateurs ou conservateurs catalans. Grace à Internet, la revue a pris un côté plus interactif et cherche à rendre possible le contact entre les conservateurs et les restaurateurs. Par ce moyen, le contenu de la revue est maintenait accessible par tout dans le monde en format numérique.

Dans ce but le site propose une carte des visiteurs qui se trouve tout en bas de la page d’accueil. Si l’on clic sur l’image on est envoyés vers un tableau de bord ou il y a une carte qui nous indique en temps réel qui est connecté. Par exemple au moment de ma connexion il y avait des gens du Brésil, Mexique, France, Thaïlande et beaucoup d’autres pays. Nous pouvons observer qu’en effet le site est visité par un public très international.

Carte Unicum visiteurs

© Capture d’écran du site whos.amung

Le visiteur a la possibilité de choisir la langue du site dès la page d’accueil. Il peut choisir parmi le catalan, l’espagnol et l’anglais en cliquant sur les drapeaux qui se trouvent en haut à droite de la tête de page. À côté se trouve une barre de recherche. Le menu est très simple est compréhensible, on a juste deux onglets, un qui nous renvoie à l ‘édition la plus récente et l’autre qui nous renvoie aux éditions précédentes.

Tête de page Unicum

© Capture d’écran du site Unicum

Pour mieux expliquer l’organisation des articles nous allons prendre un article en espagnol de la revue de l’édition 2011 qui s’intitule : « El gran día de Girona », la restauración de una obra de gran formato (« Le grand jour de Gironne », la restauration d’une œuvre de grand format). Pour accéder à cet article faut d’abord se rendre sur l’image de la revue 2011 qui se trouve dans le module à gauche  de la page d’accueil ou sur le bouton Previous EditionsChaque édition classe ses articles en différentes catégories qui sont disposés dans un sommaire avec une petite description en dessous du titre de chaque article. Ces catégories peuvent être : histoire, technologie, iconographie, archéologie, formation, recherche (…). Dans le cas de notre article, il se trouve dans la catégorie conservation-restauration parmi deux autres articles.

© Capture d'écran du site Unicum

© Capture d’écran du site Unicum

Une fois qu’on ouvre l’article qui nous intéresse, nous allons trouver d’abord  une petite introduction en italiques de ce qui sera traité dans l’article suivi par les auteurs de l’article, leur diplôme et leur adresses e-mail. Suivi par la photographie du résultat final de la restauration.

Ensuite, on a une petite fiche technique qui renseigne sur le titre de l’œuvre, l’auteur, la date, la technique, des annexes, les dimensions de l’œuvres, le numéro de registre, la coordination du projet, l’équipe de restaurateurs, les stagiaires en collaboration, les analyses physico-chimiques effectués et le nom de ceux qu’on photographie le procès.

© Capture d'écran du site Unicum

© Capture d’écran du site Unicum

L’œuvre Le grand jour de Gironne de Ramon Martí Alsina  datée d’entre 1863-1864 avait suivit des endommages lors des bombardements durant la Guerre civile à l’ancien Palais de Beaux-Arts.

© Carles Aymerich

Elle avait été ensuite envoyé et gardé dans la reserve du Museu Nacional d’Art de Catalunya (MNAC). La restauration a débutée en 2009 en collaboration du MNAC et le Centre de Restauració de Béns Mobles (CRBMC). Tout cela est indiqué dans la partie d’introduction de l’article. L’introduction Suivi par l’état de conservation de l’œuvre et tout le procès détaillé de l’intervention. A la fin, nous retrouvons une petite bibliographie, très utile en relation avec l’article.

© Capture d'écran du site Unicum

© Capture d’écran du site Unicum

Nous remarquons que le dégrée de complexité de l’information est très élevé. Les articles visent principalement un public connaisseur car on ne voit même pas d’images qui pourraient illustrer le procès. Cependant, les amateurs qui ont déjà acquis un certain vocabulaire peuvent arriver à comprendre les articles.

L’idée de faire un site international est très intéressante. Cependant, le site a encore besoin d’améliorations et d’interactivité. Beaucoup d’articles ont le drapeau de la langue italienne ou anglaise mais une fois que l’on clique dessous on nous informe que l’article n’est pas disponible qu’en espagnol ou catalan. De plus, bien qu’on trouve un outil commentaires sur tous les articles, nous ne voyons presque jamais des commentaires. Dommage que le site ne soit pas encore traduit en français car il y a beaucoup de contenus très utiles pour les professionnels de la restauration.

Pour une approche pluridisciplinaire

CeROArt

CeROArt est une plateforme interactive et une revue accessible depuis le portail http://www.revues.org/. Créé en 2007, ce site est sous la responsabilité de Muriel Verbeeck, Docteur en philosophie et lettres (Ulg), master en sciences de l’information et de la documentation (ULB) et professeur à l’ESA Saint-Luc de Liège. CeROArt est une revue à support de publication électronique et de périodicité semestrielle (numéros et hors séries) qui offre un accès libre intégral et immédiat à son contenu. Ainsi cette association belge sans but lucratif offre la possibilité de consulter tous les numéros et hors séries de leur revue électronique.

CeROArt

Le sigle CeROArt tient pour Conservation, exposition et Restauration d’Objets d’Art, la problématique choisie comme sujet de la revue. Les articles sont fournis par des contributions libres et soumis à un double comité de lecture, scientifique et de rédaction, avant publication. Ainsi toutes les disciplines sont invitées à exprimer leur approche sur cette problématique. CeROArt a pour but de « multiplier les perspectives, les croisements, les échanges, favoriser le dialogue et l’interdisciplinarité » et s’adresse donc à des « historiens et historiens de l’art, philosophes et muséologues, scientifiques intéressés par le patrimoine, conservateurs, restaurateurs, autant que représentants du monde muséal ou étudiants en l’une de ces disciplines. ».

Pour favoriser l’apport et l’accès international tous les textes sont à la fois en français et en anglais.

CeROArt

Un menu vertical à gauche permet de se renseigner sur le fonctionnement de la revue. Les thèmes des prochains numéros sont mentionnés pour un appel à propositions d’articles et une charte éditoriale complète l’accompagne. Dans cette rubrique nous pouvons voir la rigueur de cette revue avec de plus le descriptif des comités composés de professionnels, professeurs, conservateurs-restaurateurs, spécialistes…

         CeROArt             CeROArt

L’index permet de retrouver des articles de numéros selon les auteurs ou les mots-clés associés. Un menu très utile car malgré la proposition d’une consultation directe aux numéros située directement en dessous de l’index, les sujets sont très vastes et pour une recherche spécifique mieux vaut passer par l’index. En effet les numéros sont composés d’un dossier thématique d’une dizaine d’articles avec des études de cas, d’un espace « électron libre » consacré à un libre entretien d’un auteur invité, d’un article « coup de projecteur » sur des restaurations ou conservations actuelles, quelques articles dans « annonces et actualités » réservé à la recherche et enfin des « comptes rendus » d’ouvrages ou d’événements. Parfois un espace « ouvrages reçus » fait connaître de nouvelles bibliographies. Un très grand nombre d’articles donc qui, de plus, sont complétés par des hors séries.

                   CeROArt                         CeROArt

Pour retrouver les plans de tous ces numéros il faut aller dans Fil des numéros de la page Syndication. Une page est aussi réservée aux actualités du blog et des événements relatifs à leur problématique.

CeROArt

Plusieurs numéros, sinon tous, sont passionnants pour le sujet de notre blog comme le numéro 2 de 2008, Regards contemporains sur la restauration ou le numéro 9 de 2014, Connaissances et reconnaissance du conservateur-restaurateur.

                     CeROArt                                     CeROArt

CeROArt permet un réel approfondissement du sujet de la restauration en ouvrant ce domaine à des regards pluridisciplinaires.

Une actualité internationale pour et par les professionnels

e-conservation

e-conservation est un magazine en ligne gratuit réalisé par des professionnels conservateurs et restaurateurs d’art. Créé en 2007, le siège de ce groupe se trouve au Portugal et l’actuel éditeur en chef est Rui Bordalo, un des fondateurs de e-conservation, conservateur et restaurateur spécialisé en peintures de chevalets. Il est également professeur à l’université Portucalense et membre depuis 2005 de l’ECCO (European Confederation of Conservator-Restorers’ Organisations).

Ce magazine a pour unique but de rendre accessible la documentation et les connaissances de savoir-faire et des sciences relatives à la conservation et la restauration d’objets d’arts. Il revendique une utilisation non commerciale et sa licence se base sur la création de biens communs. Les auteurs professionnels ont ainsi l’occasion de promouvoir leur travail gratuitement.

e-conservation

Le e-conservationline magazine présente donc une interface simple à deux menu. Dans la barre de menu en haut, nous sommes invités à consulter le blog du site, qui possède des articles traitant du site, mais qui n’est pas clair dans son utilité propre. L’onglet e-News recense tout les articles postés sur le site et Bookshelf offre une biographie de livres sur amazon.

Sur la gauche se trouve les informations concernant le groupe de publication, le magazine, une page de liens, un FAQ (dont nous n’avons pas réussit à faire afficher les réponses aux questions) et le plan du site. Le plus intéressant pour nous curieux sont finalement ces numéros gratuits.

e-conservation

L’onglet magazine regroupe toutes les archives et numéros récents du magazine. Les numéros sont consultables en ligne en html par article ou téléchargeables en entier en pdf. A l’heure d’aujourd’hui, le site possède 25 numéros, le dernier datant de l’été 2013 (une erreur sur le site date ce numéro de 2012).

Depuis novembre 2011 Issue n°22, le magazine est bi-annuel mais avant cette date de nouveaux numéros étaient publiés tous les deux mois : dans les archives tous les numéros sont en accès. Le plan du site permet d’avoir un aperçu des titres d’articles composant le numéro.

e-conservation

Aussi l’onglet Publishing Areas nous renseigne sur les différents domaines de sujets traités. Ainsi e-conservation publie des articles concernant le traitement de conservation par étude de cas, la science de la conservation, le conservation préventive, la documentation et la théorie en conservation. Aussi d’autres thèmes sont abordés comme la chimie, la physique, la muséologie ou encore la législation concernant la conservation et la restauration. Les magazines ont un contenu très large et complet, le numéro 25 possède 216 pages.

e-conservation

Concernant l’onglet Links, il renvoie à différentes organisation et associations ainsi que des blogs, forum et divers portails de documentation.

Un dernier élément fort intéressant est le module Conservation Events qui renvoie à une nouvelle page et qui regroupe dans un calendrier tous les événements concernant la conservation comme les conseils de restaurateurs, workshops et conférences.

e-conservation

Ce site est donc à consulter pour avoir des informations précises et très approfondies sur les évolutions des recherches et des techniques en conservation et restauration d’œuvre d’art. Peut-être un peu moins accessible pour les amateurs, il permet cependant de développer certains thèmes intéressants et de voir la profession de restaurateur et conservateur dans son action au-delà des traitements.

Spain

Le musée de São Paulo : au coeur de la restauration brésilienne.

Le musée d’art de Sao Paulo (MASP) possède la collection la plus importante de l’Amérique du Sud. Son programme de restauration et conservation exécute plusieurs activité au sein de l’institution. Ces activités peuvent être consultées sur leur site internet.

Nous devons prendre en compte que les œuvres du musée sont conservées, exposées et transportées en accord avec les normes internationales, c’est pourquoi même le travail de restauration suit ces règles. Au delà de la conservation de sa propre collection, le musée d’art de Sao Paulo tisse des liens avec de nombreux musées et soutien la conservation et restauration dans d’autres musées et institutions brésiliennes. Les auteurs du site cherchent à démontrer les relations du musée avec d’autres institutions, comme le travail développé en partenariat avec le musée du Louvre.

L’atelier de restauration et conservation du musée a été crée 1992, avec des équipements très modernes à l’époque. Aujourd’hui, plus de vingt ans après sa création, cet atelier continue à avoir à sa disposition les équipements de pointe pour développer ses activités.

Le site internet du musée met à disposition aux visiteurs sa collection et toutes les activités réalisées au sein de l’institution. La plateforme numérique n’est pas assez claire sur les sources de création de cet espace, même si le site est très bien construit.

Cliquez sur l’image pour accéder au site internet du Musée de São Paulo

Comme exemple, sur la page « Projets et restaurations » nous pouvons retrouver des informations sur les dernières restaurations réalisées par le musée et la manière dont le musée les réalise : Hyménée travesti en femme à l’occasion d’un sacrifice à Priape, œuvre de Nicolas Poussin, a été restaurée en partenariat avec le musée du Louvre. Ainsi, le visiteur peut découvrir toutes les dernières restaurations.

Cliquez sur l’image pour accéder au site internet du Musée de São Paulo

Ce site s’adresse à tous ceux qui cherchent à mieux comprendre les activités de conservation et restauration du musée. Ses informations sont limitées mais assez claires. Ainsi, les chercheurs qui veulent approfondir leur connaissance mais ne peuvent pas réaliser un vrai travail de recherche.